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Patrimoine environnemental du Plessis-Robinson
Découvrez l'exceptionnel patrimoine environnemental du Plessis-Robinson : parcs, jardins, étangs et promenades, près d'un tiers de la ville est constitué d'espaces verts !
Découvrez l'exceptionnel patrimoine environnemental du Plessis-Robinson : parcs, jardins, étangs et promenades, près d'un tiers de la ville est constitué d'espaces verts !
Le Plessis-Robinson, ville verte et fleurie
Jardins de l'Hôtel de Ville
Propriété de la Ville, 0,6 ha
Entrée : avenue du Général-de-Gaulle
L’ancien square du 11-Novembre est transformé en véritable jardin public à la fin des années 1990 en parallèle de la construction du Cœur de ville. Dessiné autour d’un ruisseau et d’un petit étang ponctué de saules pleureurs, ce jardin public offre un écrin de verdure à l’Hôtel-de-Ville et à l’église Saint-Jean-Baptiste. Le bassin situé dans la cour de l’Hôtel-de-Ville est agrémenté de statues représentant les Quatre Saisons. Les statues originales, autrefois dans le parc du château de la Solitude sont à présent conservées au Moulin Fidel.
Services : Aire de jeux d’enfants
Bois de la Solitude
Propriété du Conseil général des Hauts-de-Seine,
2,5 ha
Entrées : rue du Bois-des-Vallées, rue de la Côte-Sainte-Catherine, rue Paul Rivet
Le Bois de la Solitude est l’ancien parc du château néogothique construit par l’héritière des chocolats Marquis. Ses ruines donnent aujourd’hui à cet espace vert un charme romantique indéniable.
Le bois est ouvert au public depuis 2002 grâce aux efforts conjoints de la Ville du Plessis-Robinson et du Conseil général des Hauts-de-Seine.
Il est constitué essentiellement d’un boisement ancien de chênes et de châtaigniers, que côtoie un alignement planté de marronniers et d’érables sycomores.
Services : Aire de jeux d’enfants
Parc Henri Sellier
Propriété du Conseil général des Hauts-de-Seine, 27 ha
Entrées : avenue Charles-de-Gaulle, rue de Malabry
Le parc Henri Sellier est un héritage direct de l’ancien domaine seigneurial du Plessis. Ouvert au public depuis 1932, le parc reçoit le nom d’Henri Sellier en 1949 pour rendre hommage au président de l’OPHBM, initiateur des cités-jardins du Plessis-Robinson. Sa principale attraction demeure la grande terrasse édifiée en 1700 par le maréchal Pierre de Montesquiou d’Artagnan et qui offre un point de vue exceptionnel sur toute la vallée de la Bièvre. Classé au schéma départemental des espaces naturels sensibles, le parc est majoritairement constitué de chênes, de châtaigniers et de hêtres. Au détour des allées, quelques arbres remarquables se distinguent : un cèdre du Liban et un séquoia géant de Californie planté vers 1860. Le site accueille 32 espèces d’oiseaux nicheurs et 11 espèces de mammifères.
Services : Aire de jeux d’enfants, théâtre de verdure Restauration sur place : Le Kiosque, spécialités salées, sucrées et boissons. Sur la grande terrasse, à côté du poste de garde.
Ouverture
Entrées principales : avenue Charles-de-Gaulle, rue de Malabry.
Ouvert toute l’année (modifications des horaires en fonction des saisons).
Entrées : avenue Charles-de-Gaulle, rue de Malabry
Accès : RER B - station Robinson Bus : 179 - 195 - 390 - 395, Car’Hibou (bus municipal) pour les bois
Horaires d’ouverture : janvier : 8h-17h / février : 8h-18h / mars : 7h30-19h avril et août : 7h-20h30 / Mai, juin, juillet : 7h-21h / septembre : 7h30-20h Octobre : 8h-19h / novembre, décembre : 8h-17h
Jardin de Sertillanges
Propriété de la Ville, 0,8 ha
Entrées : avenue du Général-Leclerc, avenue Charles-de-Gaulle
Ce jardin a été aménagé en 2000 au milieu du nouveau Cœur de Ville, autour de la maison Sertillanges datant du XVIIIe siècle.
Bois de la Garenne
Propriété du Conseil général des Hauts-de-Seine, 8,5 ha
Entrées : rue Paul-Rivet, avenue du Général-Leclerc, rue des Feuillants
Le Bois de la Garenne faisait autrefois partie du domaine du couvent des Feuillants, détruit à la Révolution mais dont le souvenir est toujours présent grâce au mur en pierre meulière qui en délimitait la propriété. Niché sur les crêtes de la Bièvre, à 160 mètres d’altitude, ce belvédère naturel offre une vue sur le parc Henri-Sellier et sur l’étang Colbert. Le bois, qui abrite 216 espèces végétales, est constitué dans sa plus grande partie d’une futaie de chênes accompagnés de charmes, hêtres et châtaigniers. Il abrite également un grand nombre d’espèces animales formant ainsi un écosystème protégé.
Jardins de Robinson
Propriété de la Ville, 1,7 ha
Entrée : avenue du Général-de-Gaulle, place des Alliés
Ce jardin public dessiné sur l’emplacement d’une partie de l’ancienne cité-jardin haute a été inauguré en 1999. Son nom rend hommage au quartier de Robinson dont les guinguettes firent la renommé de la commune à partir de 1848. La statue de Robinson Crusoé qui orne aujourd’hui le parc a été sculptée par Henri Le Pecq vers 1930. Elle servait d’enseigne à la plus célèbre guinguette robinsonnaise, Au Vrai Arbre.
Services : Aire de jeux d’enfants, agrès sportifs, jeux d'eau, restauration sur place : Le Chalet de Robinson, gourmandises sucrées, boissons
Ouverture
Entrées : avenue Charles-de-Gaulle, place des Alliés
Horaires d’ouverture : ouvert tous les jours sauf le lundi matin.
Novembre à février : 9h-17h / mars à mai et septembre à octobre : 9h-19h Juin - juillet - août : 9h-21h
Parc du Moulin Fidel
Propriété de la Ville, 2 ha
Entrée : rue du Moulin Fidel
Le parc de la propriété du Moulin Fidel jouxte le bois de la Vallée-aux-Loups. Il était autrefois orné d’un bassin de style Art déco conçu par l’architecte Albert Laprade. La Maison de la Musique et de la Danse a été construite en 1994 à l’extrémité du parc, à l’emplacement des anciens communs.
L'Etang Colbert
Propriété du Conseil général des Hauts-de-Seine, 3,5 ha
Entrées : avenue de la Résistance, rue du Tour de l’Étang, rue de Fontenay
Cet étang a été creusé en 1682 par Jean-Baptiste Colbert, principal ministre de Louis XIV, pour alimenter en eau son parc du château de Sceaux. Faisant partie du domaine du château Colbert jusqu’à la division de ce dernier, l’étang menace ensuite de disparaître avant d’être acheté par le Conseil général en 1935. Aujourd’hui, l’étang Colbert a retrouvé toute sa beauté et abrite de nombreux oiseaux aquatiques (canards, foulques, grèbes, cygnes, etc.). L’aménagement d’une zone de réserve où la pêche est interdite a permis le développement d’un peuplement piscicole. Le reste de l’étang accueille de nombreux pêcheurs toute l’année.
Services : Aire de jeux d’enfants, pêche, modélisme
Promenade de la cité-jardin
Propriété de la Ville,
Entrées : avenue Général-de-Gaulle, avenue de la Libération, rue du Loup-Pendu, square de la Liberté
La nouvelle Cité-jardins inaugurée en 2008 a été conçue autour d’une promenade paysagère parcourue par une rivière sinueuse. Longue de près d’un kilomètre, cette rivière, alimentée par les eaux pluviales, est parsemée de ponts et de massifs fleuris.
Jardins familiaux
De part et d’autre de l’avenue de la République et de la rue Fernand Fourcade
Les cités-jardins construites au Plessis-Robinson à partir de 1924 associent aux logements des jardins individuels dans le but d’offrir aux locataires une activité saine au grand air et économiquement avantageuse. Aujourd’hui encore, les jardins familiaux de la cité basse et de la cité haute occupent une grande place dans la vie des Robinsonnais
Le Cèdre du Liban
Place Henri Barbusse
Cet arbre magnifique se dressait dans le parc de la propriété de Pierre Caussin de Perceval puis de l’imprimeur Draeger. Cette demeure a été détruite pour cause d’alignement dans les années 1950, mais le cèdre a été préservé. A son pied, une plaque commémore le martyre des chrétiens libanais lors des combats de 1991.
Parc de la Vallée aux Loups
Propriété du Conseil général des Hauts-de-Seine
Entrées : rue Lafontaine, rue du Calvaire, rue de l’Orme-Mort
Situé à cheval sur les communes du Plessis-Robinson et de Châtenay-Malabry, le parc de la Vallée-aux-Loup est la propriété du Conseil général des Hauts-de-Seine depuis 1987. En des temps reculés, le bois, peuplé de cerfs, chevreuils et de sangliers, était un terrain de chasse privilégié pour les loups, d’où son nom. Il doit sa célébrité à Chateaubriand qui s’y installa en 1807. Les dolmens de Robinson situés à l’entrée du parc témoignent de la présence d’hommes durant le Néolithique (entre – 3000 et – 2000 avant Jésus-Christ).