Doté d'un cadre naturel remarquable, Le Plessis-Robinson s'est lancé depuis les années 1990 dans une démarche environnementale active et s'engage depuis lors dans un projet de ville durable.
La charte de l’environnement
Le début des années 1990 marque une prise de conscience du potentiel du patrimoine végétal de la ville. Parallèlement aux grands travaux d’aménagements urbains, la Municipalité entreprend, avec le concours du Conseil général des Hauts-de-Seine qui gère déjà le parc Henri-Sellier, l’étang Colbert et la vallée aux Loups, d’ouvrir au public les bois de la Garenne et de la Solitude, ainsi que le parc du Moulin Fidel. De nouveaux parcs et jardins sont créés: jardin de Robinson, jardins de l’Hôtel de Ville, jardin de Sertillanges. Au milieu des années 1990, la Charte de l’Arbre voit le jour. La Direction des Espaces Verts du Conseil général des Hautsde- Seine réalise le Cadastre vert de la commune en 1994. Ce document répertorie près de 70 arbres remarquables sur le territoire communal.
La politique de fleurissement
Afin d’accompagner l’embellissement des espaces publics, la Municipalité multiplie les massifs fleuris et les corbeilles de fleurs. Grâce au travail du Service municipal des Espaces Verts, la Ville du Plessis-Robinson grimpe régulièrement dans la hiérarchie des villes fleuries, jusqu’à l’obtention en 2005 du Grand Prix Européen du Fleurissement.
La politique de développement durable
Cette attention particulière pour le cadre de vie prend la forme d’un rendez-vous annuel à partir de 2006 avec, chaque printemps, l’organisation de la journée du développement durable. Dans le même temps, élus et personnels municipaux travaillent de concert sur un ensemble de projets. Ceux-ci font l’objet d’un suivi, étant répertoriés sous forme de fiches-action.
Les Etats généraux
En 2012, La Ville lance les États généraux de la ville durable. Ils consistent en une série d’échanges avec les Robinsonnais sur les thématiques qui leur tiennent à coeur. Ce processus permet également de faire le lien entre les actions durables réalisées et les projets à envisager collectivement. Ces Etats généraux aboutissent en février 2013 à la publication du Livre vert de la ville durable, feuille de route pour les années à venir.
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